Les cartes postales du randonneur

René au départ de la gare Lorraine – TGV	Voilà un bon résumé des choses à voir du côté de l’arrière-pays de Zittau. Le train à vapeur est bien réel, et on l’entend mugir et souffler au fond de la forêt. Beaucoup de promeneurs allemands, polonais et surtout tchèques. La bière coule aussi à flot ! Beaucoup de rénovation à partir du vieux, ce qui rend le Kurort Oybin pimpant.
Vue de Bad Schandau à partir du Lilienstein Bad Schandau est une petite ville jolie et fraîchement retapée. Bon accueil au Verkehrsamt (Office du Tourisme) où l’on m’a bien guidé. Je refais le bilan du sac pour préparer la suite en attaquant les premiers contreforts de l’Erzgebirge. Autant les paysages des Laubitzerbebirge étaient chatoyants, autant la Suisse saxonne est assez décevante. D’énormes efforts physiques sur les chemins frontaliers où pas un pas n’est régulier ni en hauteur ni en longueur ! Je crois que, de ce point de vue, le pire est dernière moi. Ce qui manque aussi, et les gens s’en plaignent, ce sont des bancs et des abris.	Typique de la Suisse saxonne !
Rencontre sur le chemin	Beaucoup de randonneuses sur le chemin !
Idéal pour le repos du randonneur !	Au fond de la forêt…
Indispensables!
Me voilà au cœur de l’Erzgebirge dans le Kreis MEZ (Mittlerer Erzgebirgekreis) En plein cœur aussi de la zone de fabrication des objets en bois ciselé pour les fêtes de Noël (le célèbre Nusskracker) A Seiffen que je traverse il fait très lourd. J’en profite pour faire tous les ravitos avant de descendre du côté de l’Olbernhau. Les paysages sont devenus plus variés, plus ouverts et plus montagneux. Beaucoup d’encouragentes rencontres sur le chemin.	Je suis aussi passé par là ; l’hôtelier hollandais retape un ancien dancing – salle des fêtes du temps de la DDR. D’ailleurs, déjà deux fois, des personnes ± agées se plaignent de la disparition d’un endroit récréatif / collectif.
A la frontière de l’Allemagne et de la république tchèque	Le long du chemin

Kurort : station thermale.