De Saalfeld au début du Rennsteig (Thuringe)

 

 

 

  

 

Je suis toujours très bien accueilli dans les hôtels, Pensions, Gastätte et autres

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le chant du randonneur :

 

 

Über allen Gipfeln ist Ruh,

In allen Wipfeln Spürest du kaum einen Hauch ;

Die Vögelein schweigen im Walde.

Warte nur, balde ruhest du auch

         Goethe  à Ilmenau  1780 

 

Et le chant du Rennsteig (Rennsteiglied)

 

Ich wand’re ja so gerne am Rennsteig durch das Land,

Den Beutel auf dem Rücken, die Klampfe in der Hand.

Ich bin ein lust’ger Wandersmann, so völlig unbeschwert ;

Mein Lied erklingt durch Busch und Tann’, das jeder gerne hört.

Diesen Weg auf den Höh’n bin ich oft gegangen,

Vöglein sangen Lieder.

Bin ich weit in der Welt, habe ich Verlangen,

Thüringer Wald, nur nach dir.

 

 

 

 

 

La rue la plue pentue d’Allemagne !

 

 

 

 

 

 

Joli, non ? Mais je n’ai rien vu puique la visibilité était réduite au minimum. De plus, prudemment, j’ai contourné ce point culminant du Thüringer Wald (912m) 200m plus bas avec beaucoup moins d’efforts. Cela valait mieux !

 

Je plains encore ce groupe qui devait s’y rendre et se trouvait vers 17h à 12km encore au Nord ! Vivement la tente ! elle me rend toujours de bons services, au bon moment.